Les surfaces en contact avec l’eau vont naturellement développer un encrassement qui va être de nature différente selon ce qui provoque cet encrassement.
L’encrassement peut être de nature biologique, ou biofilm.
Loin d’être anodin, c’est le plus fréquent, celui qui génère des odeurs et des dépôts gluants.
L’encrassement peut également être du dépôt minéral, du tartre.
Nous penserons principalement à celui-là, mais il vient souvent en accompagnement du premier. Dur et peu coloré (blanc, gris ou crème) il est extrêmement résistant et demande souvent un nettoyage mécanique et chimique difficile.
La corrosion.
Souvent il vient en accompagnement des deux premiers. L’absence de nettoyage des dépôts provoque des conditions facilitant la corrosion dessous. Soit par l’eau elle-même, soit aussi par la flore bactérienne.
Lorsque qu’un biofilm se développe sous des dépôts, souvent apparait une odeur pestilentielle, une odeur d’œuf pourri. C’est l’effet d’une bactérie corrosive très dommageable dans les installations.
Les dépôts de poussières et d’éléments en suspension dans l’eau.
Les eaux de surface, les piscines, les spas, les rivières, etc… peuvent contenir des particules de matières plus ou moins grosses, certaines très petites. Ces éléments sont appelés matières en suspension et génèrent des dépôts dans les installations.
Comme il a été mentionné à la page sur la chimie de l’eau, l’organisation interne de l’eau permet la création de ces dépôts d’autant plus facilement que la structure de l’eau ne permet pas des les empêcher. En effet, celle-ci aura tendance à “repousser” les éléments les uns vers les autres provoquant l’apparition de tartre, de traces d’encrassements et surtout de biofilm bactériens.
Minéral ou bactérien, le dépôts est fortement aidé par la nature chimique de l’eau. Sans intervention, celui-ci va croitre et rapidement devenir un problème.
Le biofilm
Les trois étapes principales de la contamination par le biofilm :
1) Une souche bactérienne s’installe
2) Elle grossit et croit en abritant de la faune et de la flore vivante
3) Devenue trop grosse, elle finit par éclater et libérer une somme considérable de bactéries dans l’eau
90% des bactéries d’une installation d’eau vivent dans ces dépôts, le biofilm.
La flore se développant ainsi à l’abri constitue un risque pour une installation.
La contamination biologique, le biofilm, et les dépôts de tartre sont donc responsable de la plupart des problèmes liés à l’utilisation de l’eau et nous pouvons y trouver :
- Encrassement des surfaces immergés des piscines
- Encrassement des machines à laver
- Contamination des eaux chaudes dans les établissements de santé
- Risques liés à la Légionella dans les eaux chaudes et les tours de refroidissement
- Risque biologiques dans les stérilisateurs ou les pasteurisateurs
- Et bien d’autres…
Yret Solutions et ses partenaires ont développé des solutions techniques permettant d’éviter ce type de désagrément.
L’utilisation d’un catalyseur dans l’eau permet de palier à ces défauts.
Notre Catalyseur bioYRET de lutte contre la Légionella Pneumophila dans les TAR
Les images de cette page sont (C) Yret Solutions SAS